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La mémoire
des eaux


Texte de Benoit Schwartz
Musique et chant siiAn
Son Géraldine Le Boulch
Mise en scène Cécile Mangin


Epopée contemporaine, la mémoire des eaux raconte l’exil d’un homme dont on ne sait rien que le présent, et qui nous aide à vivre, de l’intérieur, la mutation du monde entre l'immobilisme et la peur, le mouvement et la fluidité d’une humanité.Son voyage est un poème. Il nous invite à la douceur, à l’accueil, à ouvrir les bras comme l’homme qui, sous l’orage, décide de fermer son parapluie, lève les paumes et le visage vers le ciel, rit dans le ruissellement, imprime son corps dans le cycle de l’eau.


Le texte de Benoit Schwartz s'offre au chant et à la musique de siiAn comme un caillou s'offre à l'eau. Il est l'épicentre d'une ondulation, le coeur d'une résonance et de multiples échos, qui migrent et se portent au-delà des frontières culturelles, artistiques, administratives…D'inspiration centre-asiatique et méditerranéenne, la musique de siiAn puisera ses éléments d’écriture dans la tradition épique des bardes mongols, les mélopées modales de la mer Egée, et le souffle organique des sables sahariens. Chevauchée urgente, chants adressés aux eaux et aux Hommes, silences suspendus à la respiration de la Terre...


Texte et musique sont frère et sœur animés d'une même pulsion de vie irrépressible…


« Je ne voulais pas partir, je ne pouvais pas rester. Je n’avais que l’espoir d’être accueilli par des vivants. »


Spectacle tout public à partir de 15 ans
Durée 1 heure
Avec Benoît Schwartz et siiAn (rubāb et chant)
Texte Benoit Schwartz
Musique siiAn
Son Géraldine Le Boulch
Mise en scène Cécile Mangin
Production La Bao Acou 


Photos  Benoit Gaudin


"La mémoire des eaux" a bénéficié d’une aide à la résidence de la DRAC Bretagne au Logelloù et et d’une aide du Petit écho de la mode à Chatelaudren.
Le Service culturel de l’Université de Rennes 2 nous a soutenu en organisant une première professionnelle et la captation du spectacle.
Nous remercions les trois équipes pour leur accueil chaleureux et leur soutien professionnel.


Le texte est publié en février 2019 dans la revue Friction N° 31 et édité en avril chez « Corps-puce".